Avec l’arrivée de la saison froide et des vacances à la montagne, il est essentiel de se préparer correctement pour profiter pleinement des sports d’hiver. Que vous soyez un skieur débutant ou expérimenté, avoir les bons équipements peut faire toute la différence dans votre expérience outdoor. Si vous voulez en savoir plus sur les meilleures marques et astuces pour choisir vos équipements de ski, lisez ici. Découvrez dans cet article, comment être bien équipé pour profiter au maximum de vos sports d’hiver avec une méthode d’organisation et une sélection d’équipements indispensables.

La méthode pour bien s’équiper : le système des couches

Le système des couches est une méthode permettant de rester confortablement au chaud et au sec pendant les activités hivernales, tout en étant protégé contre les variations de température. Cette méthode consiste à superposer différentes couches de vêtements afin de créer une protection thermique optimale. Voici comment bien organiser ces couches :

1. La couche-1 : la sous-couche (base layer) — cette première couche est en contact direct avec la peau et doit donc posséder des propriétés respirantes et isolantes, pour évacuer l’humidité et conserver la chaleur corporelle.
2. La couche-2 : la couche intermédiaire (mid layer) — cette seconde couche permet d’apporter de l’isolation thermique supplémentaire sans oublier que son textile doit être respirant pour éviter l’accumulation de transpiration.
3. La couche-3 : la couche externe (outer layer) — enfin, la dernière couche sera imperméable et coupe-vent, afin de protéger des intempéries et du froid.

Les matières à privilégier pour chaque couche

Pour profiter pleinement de vos sports de montagne, il est essentiel de choisir des textiles adaptés. Pour la couche-1, privilégiez les matériaux synthétiques tels que le polyester ou la polypropylène, ou encore la laine mérinos pour ses propriétés de régulation thermique naturelles. Quant aux couches 2 et 3, elles doivent être composées de fibres techniques telles que la polaire ou le softshell, capables d’évacuer efficacement l’humidité et de vous protéger du vent et de la pluie.

Vêtements indispensables pour vos sports d’hiver

En complément du système des couches, voici une liste d’équipements de base pour vous assurer le meilleur confort pendant vos activités hivernales :

• Un bonnet ou une cagoule pour éviter idéalement les pertes de chaleur par la tête.
• Des gants ou des moufles pour garder les mains au chaud et protégées des vents glacés.
• Des chaussettes thermiques en laine mérinos ou en fibres techniques, pour conserver la chaleur tout en évitant les ampoules.
• Un masque de ski, essentiel pour vous protéger des rayons UV et du vent.
• Éventuellement une protection dorsale, notamment pour ceux qui pratiquent le snowboard ou le ski freestyle.
• Pensez à prendre des protections supplémentaires pour les genoux, les coudes ou encore les poignets.

L’importance d’avoir des chaussures adaptées

Même si cette énumération peut paraître longue, elle est loin d’être exhaustive car avoir des chaussures adaptées est également essentiel. En effet, que vous soyez skieur ou snowboardeur, vos pieds doivent être bien maintenus dans un excellent confort pour passer des journées agréables sur les pistes. Faites vous conseiller par un spécialiste pour choisir des chaussures de ski à votre mesure et pensez à toujours les essayer avec les chaussettes technique que vous comptez porter sur les pistes.

Le choix des équipements sportifs : skis, snowboard et accessoires

Les skis : différents types pour différentes pratiques

Au-delà des vêtements, il est important de s’équiper avec des skis adaptés à votre niveau et à vos préférences de glisse. Différents types de skis existent : les skis all-mountain, polyvalents pour tous les terrains ; les skis de piste, pour ceux qui souhaitent se concentrer sur la performance technique et la vitesse ; les skis freeride, conçus pour explorer la montagne en hors-piste, ou encore les skis freestyle, destinés aux amateurs de figures acrobatiques au snowpark. Prenez le temps d’essayer plusieurs modèles afin de trouver les skis qui vous correspondent le mieux.

Le snowboard : largeur et cambre

En ce qui concerne le choix d’un snowboard, il faut porter une attention particulière à sa taille et sa forme. La largeur du snowboard doit correspondre à celle de vos chaussures de manière à offrir un bon équilibre sans compromettre l’agilité dans les virages. Il est également important de considérer le type de cambre (courbure) de la planche, chaque cambre ayant ses propres caractéristiques en termes de maniabilité, de stabilité et de points de contact avec la neige. N’hésitez pas à solliciter l’aide d’un professionnel pour bien choisir votre matériel.

Les accessoires utiles en montagne

Outre les équipements cités ci-dessus, voici quelques accessoires supplémentaires utiles pour profiter pleinement de vos sports d’hiver :

• Des bâtons de ski, indispensables pour garder l’équilibre lors de vos descentes.
• Un casque de ski, pour une protection optimale de votre tête en cas d’accident.
• Une crème solaire et un baume à lèvres protection UV, pour protéger votre peau du soleil de montagne.
• Des lunettes de soleil ou un écran facial pour une protection optimale des yeux.
• Un sac à dos de taille adaptée, pour transporter vos affaires personnelles, ainsi que des barres énergétiques et de l’eau.
• Un gps de randonnée, une boussole ou encore une carte topographique de la région, pour vous orienter au cours de vos excursions outdoor.

En suivant ces conseils et en veillant à posséder tout l’équipement nécessaire, vous serez assuré de passer de mémorables journées sur les pistes lors de vos sports d’hiver !

Montpellier, la ville méditerranéenne du sud de la France, s’est forgée une identité visuelle et culturelle unique grâce à l’évolution constante du graffiti et du street art au fil des dernières trois décennies. Des ruelles étroites aux parcs éclatants, ces formes d’expression en constante évolution sont imprégnées dans le paysage urbain de la ville.

Les débuts du street art montpelliérain

Dans les années 90, le mouvement hip-hop a connu une ascension rapide en France, jetant les bases d’un lien fort avec les arts urbains, tels que le breakdance, le beatboxing ou encore les graffitis. À Montpellier, cette scène a retenu l’attention d’artistes qui ont vu là un moyen de transmettre leur message et de transformer les murs gris en toiles colorées.

Le quai du Verdanson est l’un des sites les plus emblématiques de cette période. Les graffeurs y avaient trouvé un terrain d’expérimentation accueillant pour leurs créations audacieuses.

Des techniques artistiques en évolution

Avec le temps, la diversité des formes d’expression augmente. La pratique du graffiti de lettre laisse progressivement place à la création de fresques murales impressionnantes ainsi que l’utilisation de sticker art et de pochoirs. L’essor des nouvelles technologies donne également naissance à des oeuvres interactives et numériques.

Le passage de l’illégalité à la reconnaissance artistique

D’autre part, les institutions et la population sont passées d’un regard réticent à la volonté de promouvoir cette forme d’art. La municipalité invite régulièrement des artistes renommés ou locaux à embellir les murs de la ville avec leurs œuvres.

En témoigne le festival « K-Live » qui depuis 2008 fait la part belle aux graffitis et à diverses formes d’arts visuels.

L’intérêt croissant pour les arts urbains à Montpellier

Au fil des années, les œuvres qui parsèment les rues montpelliéraines deviennent un véritable attrait, tant pour les habitants que les touristes curieux. Dans cet esprit, plusieurs galeries éphémères et lieux populaires ont vu le jour afin de mettre en valeur ces créations et de permettre au grand public d’en apprécier toute la richesse.

• La Fabrikak : cet espace culturel multifonctionnel offre une résidence artistique pour les graffeurs et autres artistes urbains.
• At Down Gallery : cette galerie dédiée aux arts urbains propose des expositions temporaires et retrace l’évolution du street art à travers différentes techniques.
• Espace Bargemon : situé dans le centre historique, cet endroit accueille de nombreuses performances live et installations street art temporaires.

Le rôle de la chaleur montpelliéraine dans l’essor du street art

En raison de son climat méditerranéen, Montpellier bénéficie d’une longue saison estivale propice à celui qui souhaite investir les espaces extérieurs pour exprimer sa créativité. Cette chaleur s’est manifestée comme un cadre idéal inspirant pour les artistes urbains.

Par définition, le graffiti et le street art sont des formes d’expression éphémères qui capturent l’essence d’un lieu et d’une époque particulière – souvent marqués par les graffeurs anonymes qui ont souhaité laisser une trace indélébile de leur passage.

Les acteurs du street art à Montpellier

Cette ville du sud de la France est aussi source d’inspiration pour les artistes locaux, tels que Réso ou Der. Leurs oeuvres aux styles variés traduisent leurs influences artistiques diverses et témoignent du dynamisme de la scène montpelliéraine.

Des collectifs riches en talents ont également vu le jour à Montpellier, tels que La Halle Tropisme, qui accompagne depuis plusieurs années les projets artistiques urbains et fédère les différents acteurs du milieu.

Influence internationale sur le street art montpelliérain

Au-delà des frontières locales, quelques vedettes du monde du graffiti et du street art ont également contribué au rayonnement culturel de la cité héraultaise. Citons par exemple Banksy, Miss Van, Jef Aérosol ou encore Shepard Fairey.

Si le chemin parcouru depuis les premiers graffitis à Montpellier au début des années 90 est impressionnant, il va sans dire que l’essor du street art dans la ville méditerranéenne n’a pas fini de nous surprendre et de continuer à émerveiller ses habitants et ses visiteurs.

Plus d’informations sur les oeuvres et événements consacrés au street art à Montpellier sont disponibles en ligne pour les aficionados qui souhaitent découvrir et se tenir informés des nouveautés artistiques dans ce domaine prometteur.

Le rap, sans être parmi les premiers styles inventés, constitue l’une des formes de chant les plus répandues. Avec de célèbres icônes musicales, c’est un genre qui séduit et donne envie de s’y adonner. Cependant, il est primordial de connaître certaines techniques quand on désire s’y aventurer. Découvrez-les ici !

Le rap : que savoir ?

Le rap en tant que genre musical, a vu le jour grâce au mouvement hip-hop dans les années 1970 aux États-Unis. Il s’agit d’une forme de chant extrême qui exige beaucoup d’effort de ses pratiquants. Il était considéré en ce moment comme un style réservé aux jeunes de banlieue. Mais depuis quelques années, cette musique a évolué et s’est démocratisée dans le cœur de plusieurs jeunes du monde. Au-delà de la simple écoute, si vous rêvez de devenir rappeurs sans être chanteurs, voici des méthodes pour y arriver.

Connaitre les bases

Il est important de commencer votre apprentissage en vous habituant à écouter régulièrement des artistes déjà confirmés. L’écoute commencera par des titres chantés dès la naissance du hip-hop jusqu’aux musiques contemporaines de rap. Ceci vous permettra de maitriser l’évolution du flow au fil des années.

Après cette étape, il faudra ensuite vous entrainer à imiter les artistes pour développer votre capacité d’interprétation. Par la suite, vous vous exercerez à chanter sur des instrumentales avec lyrics ou non. L’objectif à travers ces exercices sera de s’inspirer des aînés pour concevoir votre propre style.

Définir son propre style de rap

Une fois les bases connues, passez à l’étape supérieure. Il faut concevoir petit à petit votre style avec des instruments et des textes originaux. Écrivez à chaque fois vos inspirations sur une feuille ou enregistrez sur un support adéquat. Ensuite, exercez-vous à chanter vos notes et corrigez au fur et à mesure les erreurs. Votre style se modèlera graduellement suivant la pratique et la maitrise de cet exercice.

Établir votre style doit s’accompagner d’un exercice de diction. En effet, chaque rappeur possède sa propre manière d’articuler les mots et il vous faut trouver aussi la vôtre. Par exemple, vous pouvez rapper avec un stylo entre vos dents pour vous amener à faire plus d’efforts. Aussi, vous pouvez vous servir des fourches-langues pour améliorer votre élocution.

Perfectionner votre musicalité

Il est primordial de maitriser votre voix en sachant mettre les mots au bon moment et dans le bon tempo. Pour cela, attelez-vous au contrôle de votre respiration et aux postures à adopter pour optimiser votre voix. L’avant-dernière étape du processus sera de développer votre créativité et votre capacité d’improvisation à travers le Freestyle. Une fois que vous aurez cerné le freestyle, allez dans un studio pour vous faire connaitre du grand public.

Quelques erreurs à éviter quand on est débutant

Lorsque vous débutez dans le rap, ne faites pas des phrases trop longues. Cela peut vous faire perdre la gamme et perturber le contrôle de votre respiration. De même, ces échecs se remarqueront lorsque vous cherchez à rapper très vite à vos débuts. Pour finir, le rap est un genre musical assez ouvert qui peut s’allier à d’autres styles de musique. Il faut donc se distinguer de la masse en ne se limitant pas au classique.

7 mois, 4 continents, 6 événements dans le monde, 550 participants dont plus de 250 professionnels du secteur. Ce sont ces chiffres qui ont décrété le succès de la 19ème édition du Yachtmaster Benetti, l’événement traditionnel que le Chantier Toscan consacre chaque année aux capitaines, équipages et professionnels du monde de la navigation. Au cours de cette édition, avec la collaboration de sponsors et de partenaires, Benetti a organisé des événements, des roadshows, des réunions et des ateliers en Espagne, Italie, Turquie, Grèce, USA et Australie.

Le Yachtmaster Benetti est encore une fois un succès cette année. La grande participation des capitaines, des entreprises et des commanditaires, ainsi que la variété des sujets abordés, confirment l’importance de cet événement. La 19ème édition a suscité le consensus général également grâce aux organisateurs qui ont su capter des thèmes et des modes d’organisation très attractifs pour le secteur.

La 19ème édition s’est achevée au siège du Gold Coast City Marina & Shipyard, dans le Queensland, Australie, devant près de cinquante participants. C’est la première fois que Benetti y organise sa kermesse et, grâce à la collaboration de la Gold Coast City Marina (GCCM), une entreprise bien établie dans la région basée à Coomera, qui offre des services aux plaisanciers, un débat ad hoc sur les questions relatives à la gestion des yachts a été lancé avec la participation des opérateurs du secteur en Indonésie, Thaïlande, Vanuatu, Tahiti, Nouvelle-Zélande, Australie.

Peter Mahony, directeur général de Benetti Yachts Asia, a donné la parole à Edward Woodman (capitaine d’un yacht Benetti de 45 mètres), Kevin Altera (directeur général des opérations et du développement commercial de GCCM), Donna Murray (directrice du recrutement international de Hill Robinson Superyacht), Andy Shorten (Lighthouse Consultancy), Adam Frost (fondateur et directeur général de Seal Superyachts), Justin Jenkin (Seal Superyachts Vanuatu), Paco Bredin (Seal Superyachts Tahiti), Ben Osborne (Seal Superyachts New Zealand), Mark Wightma (Integrated Marine Group) et Ayla Wharton (North Australia Yacht Support, NAYS).

Avant cette réunion, qui a clôturé officiellement les travaux de cette 19e édition, il y a eu trois autres événements entre mars et mai. La première a été le roadshow turc le 20 mars au restaurant Yeniköy Kaşıbeyaz Bosphorus à Istanbul, organisé par Benetti en partenariat avec Gino Group, l’un des principaux armateurs turcs avec 40 ans d’expérience.

Flivos Marina à Athènes, le 3 avril dernier, a accueilli le roadshow grec organisé par le chantier naval toscan, en collaboration avec First Quality Yachts, une société spécialisée dans les services de gestion de yachts pour propriétaires, capitaines et membres d’équipage, offrant un support opérationnel et une assistance personnalisée. A l’intérieur du port de plaisance, les opérateurs d’Ariexpo, une société qui produit des moteurs pour les secteurs nautique, ferroviaire et aérien, ont analysé les pièges cachés dans la gestion de la motorisation des yachts et les avocats de Markogiannis & Partnershis ont présenté les derniers développements législatifs du yachting en Grèce.

Le rendez-vous américain qui a eu lieu à Key Largo, en Floride, au Playa Largo Resort & Spa du 30 avril au 2 mai a également été important. Nick Bischoff, Directeur Pays Benetti pour les Amériques, a ouvert la réunion devant 80 participants dont plus de 30 commandants, géomètres et représentants d’armateurs et 65% ont participé pour la première fois au Yachtmaster.

La session consacrée à « Owner’s team perspective » a été très populaire, au cours de laquelle Lucy Chabot Reed, directrice éditoriale du magazine américain The Triton, a interviewé Mark Gallaway, capitaine de « Elaldrea+ », Benetti Custom yacht de 49 mètres, présenté en première mondiale en février au Palm Beach International Boat Show. Le commandant de bord a souligné la capacité de Benetti à accepter les idées, changements et suggestions demandés par le propriétaire pendant la phase de conception, favorisant le dialogue et la coopération entre toutes les parties impliquées. « Cet événement fait partie intégrante de la philosophie de Benetti et s’avère être un outil de double utilité : il aide le chantier naval à mieux comprendre et anticiper les besoins du secteur, s’avère être une opportunité unique pour mettre à jour les capitaines et les professionnels, et permet le réseautage par la comparaison des dynamiques du monde du yachting, » a déclaré Nick Bischoff, puis en soulignant comment certains événements de cette édition du Yachtmaster se sont tenus conjointement avec Benetti Giga Season : « Une période d’activité fervente qui a vu Benetti atteindre l’objectif de mettre à l’eau 3 yachts de plus de 100 mètres en 100 jours seulement.